“C'est le cœur vaillant que notre équipe de corsaires est allé au devant de ce navire d'elfes. Les promesses de pillage étaient belles.

N'hésitant pas à utiliser les ruses pirates les plus subtiles nous avions fait croire à l'adversaire que notre navire était mal défendu aussi il se lança de lui même à l'abordage de notre fier esquif persuadé que c'était nous la proie.

Très vite nous repoussions leur attaque les obligeants à fuir au fond de leur navire mais trop confiant dans notre riposte nous laissions le champ libre à quelque officier adverse qui allait porter le ballon au fond de notre cale.
Au bien sur on lui courra après mais victimes d'une malédiction nos jambes de bois dérapèrent sur le pont, nos pieds se prirent dans les cordages et les gréements eux même venaient gêner nos tentatives de course.

Le soleil était haut dans le ciel quand l'adversaire arrive à ses fins.
Il nous fallait contre attaquer pour qu'à défaut de pillage cet abordage ne se transforme pas en défaite.

Alors sous l'impulsion de Jean Fleury notre équipage passa à l'attaque réduisant à néant et méthodiquement tout opposition adverse.
François le Clerc suivait de prêt Jean et c'est lentement mais surement qu'il porta notre bombe au fond des cales adverses.

Malheureusement pour nous quelques coups de canon à l'horizon nous firent comprendre que qu'un navire de guerre adverse s'approcher et nous dûment fuir sans butin mais invaincu !!!
Seul Jean Bart repartait blessé non pas sous les coups adverses mais en raison d'une baume qui s'était écroulée sur lui ! ”